Mise en ligne de mon essai

Essai sur la resilience de Frederic Desforges

Amis lecteurs, âmes errantes en quête de sens, je vous convie à une expédition périlleuse au cœur des terres inexplorées de l’esprit humain. Loin des sentiers battus de la psychologie grand public, des autoroutes aseptisées du développement personnel, j’ai arpenté les chemins escarpés de la résilience, cette force mystérieuse qui nous pousse à nous relever quand tout semble perdu.

Mon essai, fruit de ces pérégrinations intérieures, est désormais offert gratuitement sur la toile, tel un feu de camp virtuel autour duquel je vous invite à vous rassembler. Ne vous attendez pas à y trouver des recettes miracles, des mantras à répéter face au miroir de votre salle de bain. Non, ce texte est plutôt semblable à ces cartes anciennes, imprécises et pourtant évocatrices, qui vous sussurrent à l’oreille : « Ici commencent les terres inconnues ».

J’y ai consigné les témoignages de naufragés de l’existence, recueillis dans les ports brumeux de villes oubliées. J’y ai décrit les paysages désolés de l’âme après le passage de l’ouragan du destin, mais aussi la force stupéfiante de ces fleurs obstinées qui percent le bitume de nos désillusions. De la Sibérie glaciale aux déserts brûlants d’Afrique, j’ai traqué les manifestations de cette résilience, aussi insaisissable que le vent des steppes, aussi puissante que le souffle du simoun.

Vous y croiserez des femmes aux yeux d’obsidienne, qui ont fait de leurs cicatrices des constellations pour guider leurs pas. Vous y rencontrerez des hommes au cuir tanné par l’adversité, semblables à ces vieux chênes qui défient les tempêtes. Chacun porte en lui une parcelle de cette sagesse ancestrale, ce savoir être au monde qui nous permet de danser même quand le sol se dérobe sous nos pieds.

Mais prenez garde, chers voyageurs ! Ce texte n’est pas un baume apaisant pour consciences fatiguées. Il est plutôt semblable à ces alcools forts que l’on boit dans les tavernes des confins du monde : il brûle la gorge, fait tourner la tête, mais réchauffe le cœur de celui qui ose y tremper ses lèvres. Il vous faudra peut-être plusieurs gorgées, plusieurs lectures, pour en saisir toutes les subtilités, pour démêler l’écheveau complexe de nos résiliences entremêlées.

Alors, si le cœur vous en dit, si l’appel de l’aventure résonne en vous comme le cri d’un aigle dans les montagnes, rejoignez-moi dans cette exploration des tréfonds de l’âme humaine. L’essai vous attend, tapi dans les replis du cyberespace, prêt à déployer ses ailes pour vous emporter loin des rivages confortables de vos certitudes.

Bon voyage, amis lecteurs. Et si parfois le doute vous assaille, si le poids de l’existence vous semble trop lourd à porter, souvenez-vous de ces mots gravés sur un rocher solitaire, au sommet d’une montagne battue par les vents : « La résilience n’est pas un sommet à atteindre, mais un chemin à parcourir chaque jour. »
Que ce chemin vous mène vers des horizons insoupçonnés.

Pour télécharger mon essai sur la résilience : cliquez-ici

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